Thomas Boivin : Belleville

Ajouter à mon calendrier 2023-03-10 12:30:00 2023-06-04 16:00:00 Thomas Boivin : Belleville Le 19e arrondissement de Paris est «bourré de détails comme un roman» écrivait Léon Paul Fargue en 1951. Le préfacier des plus illustres ouvrages de photographies d’après-guerre revendiquait alors son attachement à cet ancien faubourg, maintes fois arpenté et documenté par des auteurs fameux, comme Robert Doisneau, Willy Ronis ou encore René-Jacques. Le Belleville de Thomas Boivin puise ses origines dans cette filiation-là, dans ce goût pour la déambulation et pour le noir et blanc mais aussi dans une affection particulière pour ce quartier encore populaire, multicommunautaire dirait-on aujourd’hui, de l’Est parisien. C’est la physionomie de la ville et de ses habitants qui est à l’œuvre chez cet auteur mais une physionomie contemporaine renouvelée par un regard actuel qui sait justement s’attarder sur les détails et qui sait approcher ses semblables. Thomas Boivin redonne vie à un genre, celui de la photographie de rue.   Vernissage jeudi 9 mars 18h Entrée libre Renseignement maisondoisneau.grandorlyseinebievre.fr Maison de la Photographie Robert Doisneau Ville de gentilly contact@gentilly.fr Europe/Paris public
Du 10 mars au 04 juin 2023
Une déambulation au cœur du quartier populaire de Paris.

Le 19e arrondissement de Paris est «bourré de détails comme un roman» écrivait Léon Paul Fargue en 1951. Le préfacier des plus illustres ouvrages de photographies d’après-guerre revendiquait alors son attachement à cet ancien faubourg, maintes fois arpenté et documenté par des auteurs fameux, comme Robert Doisneau, Willy Ronis ou encore René-Jacques. Le Belleville de Thomas Boivin puise ses origines dans cette filiation-là, dans ce goût pour la déambulation et pour le noir et blanc mais aussi dans une affection particulière pour ce quartier encore populaire, multicommunautaire dirait-on aujourd’hui, de l’Est parisien.

C’est la physionomie de la ville et de ses habitants qui est à l’œuvre chez cet auteur mais une physionomie contemporaine renouvelée par un regard actuel qui sait justement s’attarder sur les détails et qui sait approcher ses semblables. Thomas Boivin redonne vie à un genre, celui de la photographie de rue.

 

Vernissage jeudi 9 mars 18h
Entrée libre

Renseignement maisondoisneau.grandorlyseinebievre.fr

Lieu :